![](https://static.wixstatic.com/media/1e1a89_0d82bf97059648b1ace94ecaec95c408~mv2.jpg/v1/fill/w_288,h_156,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,blur_2,enc_auto/1e1a89_0d82bf97059648b1ace94ecaec95c408~mv2.jpg)
![Gordon M. Hill.jpg](https://static.wixstatic.com/media/1e1a89_11c829bb56134d968dcb02427f4cde35~mv2.jpg/v1/fill/w_226,h_300,al_c,lg_1,q_80,enc_auto/Gordon%20M_%20Hill.jpg)
la faire peindre sur son Spitfire. La première était que le Spitfire était un Mark 16, et la deuxième était la phrase « l’innoncence de ses 16 ans ».
Gordon fut déchargé en mars 1946. Il a fini par trouver son amoureuse. Son nom est Eleni « Helen » Plasteras, et Gordon l’avait connue durant l’école secondaire. Ils se sont mariés le 1 octobre 1949, et ont trois enfants: Eleanor Creasey, Barbara Hill, et Douglas Hill, ainsi que deux petits-enfants, Erin et David Creasey.
Gordon est toujours actif en tant que bénévole et est l’un des membres initiaux de le musée « Hangar Flight Museum » à Calgary (auparavant le musée aérospatial de Calgary). Sa carte de membre originale avait le no. 6.
![Gordon M Hill Old and New.jpg](https://static.wixstatic.com/media/1e1a89_75e0cdc2091a47bc958151b59c1e6aab~mv2.jpg/v1/fill/w_221,h_123,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,enc_auto/Gordon%20M%20Hill%20Old%20and%20New.jpg)
Dédication à Gordon M. Hill
Gordon Hill est l’enfant aîné de John Ross Hill et Lily Reed. Il est né à Canora, Saskatchewan. En décembre 1941, Gordon a rejoint l’aviation royale canadienne (ARC). Il a complété la majorité de sa formation au Québec. Il a ensuite été posté sur la côte ouest avec l’escadron No. 133 F (F pour « Fighter »). Au début de 1944 il est envoyé à l’étranger au sud de l’Angleterre, où il a joint la 2ième force aérienne tactique (2TAF) de la force airienne royale (RAF).
Entre le Jour-J et la fin de la guerre, Gordon pilotait avec l’escadron 416 à partir de 14 terrains d’aviation. Gordon a opéré six différents Marks du Supermarine Spitfire. Durant sa formation, il a piloté des Marks 1, 2, et 5; sa première opération fut avec le Mark 9, puis ensuite il a piloté le Mark 14 et le Mark 16.
La phrase « Sweet Sixteen » voulait dire deux choses pour Gordon lorsqu’il a choisi de